Jour 11 Moeraki et Oamaru
Après une nuit sans chauffage dans le camping car et un réveil sous la pluie nous décidons tout de même d'aller faire un petit tour matinal sur la plage. Pas d'animaux, seulement de jolis jeux de lumière au loin.
Départ pour Moeraki pour aller voir les "boulders", ces boules de roche au milieu de la plage propices à une séance de photos. Départ ensuite pour le Mont Cook et découverte inattendue de la petite ville de Oamaru. Des bâtisses victoriennes du 19e, des magasins de tout et de rien et un joli petit port. Un bon fish and chips de sole et nous voilà partis à la recherche des pingouins bleus habitant normalement dans le coin. Encore une fois l'horaire n'est pas propice mais nous faisons la découverte d'otaries cachées au milieu d'une digue. Audrey a même eu sa petite frayeur en se retrouvant involontairement à deux mètres de la bestiole qui grogne !
Reprise ensuite de la route pour le Mont Cook et arrivée au camping vers 19H40. Petit barbecue, vaisselle et séance tri des photos. Demain nous allons voir s'il est possible de faire une petite rando dans le coin.
La galerie du jour
PS : la galerie d'hier est maintenant en ligne
je ne savais pas que ma filleule était déjà obligée de porter des couches. Enfin, si elle les jette de temps en temps
Sur les dernières photos, Audrey a retiré gants et bonnet ! La température était elle redevenue clémente. Kevin en tout cas ne s’est pas découvert d’un fil. Il ne parle pas de ses bleus : la chute en luge est elle un lointain souvenir. Audrey, après avoir caressé les kangourous et les koalas, je pensais que tu aurais à cœur d’embrasser les otaries ! Chez nous les premières gelées sont apparues et comme nous sommes plutôt frileux, pas question de se priver de chauffage ! Pour le coup on apprécie notre lit douillet et n’envions nullement vos nuits dans ce camping car !
Bisous à tous deux
Enfin Kevin qu’il fasse chaud au froid porte toujours la même chose. Vu le nombre de couches qu’elle a heureusement que Audrey en enlève un peu de temps en temps… 🙂
Et puis les otaries sauvages contrairement à celles des parcs d’attraction ça a quand même une furieuse tendance à mordre et à grogner…